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26 mai 2011 4 26 /05 /mai /2011 21:00

DEFENSE DE SISTERON  (12 JUIN 1562)

dont un de nos ancêtres était present : ‘’Esprit ARNAUDON’’ **

 

 sisteronSisteron
Dessin à la mine de plomb et rehauts de craie sur papier gris ; 25,8 x 39,5 cm
© Caruelle d'Aligny, Théodore (1798-1871). Dessinateur (Gallica)

En quittant Tallard, le 12 juin 1562, Furmeyer marche au secours de Sisteron, le boulevard du protestantisme militant en Provence, assiégé par Sommerive, gouverneur de Provence. Le capitaine réussit à rentrer dans la ville assiégée par les catholiques avec ses soldats. D'après de Thou : …’’’une multitude de femmes, d'enfants & de gens incapables de porter les armes, qui avoient choisi Cisteron comme un asile contre la persécution. Il n'y avait point de grâce à espérer de la part d'ennemis si déclarés & si implacables : le gouverneur de la province leur avait fait espérer du secours ; & leurs espérances venoient d'être fortifiée par l'arrivée de Rambaud Furmeyer, grand capitaine qui venoit d'entrer dans la ville avec un détachement de 300 hommes...’’’


sisteron2François de Bonne, duc de Lesdiguières (Château de Vizille) © Guy de RAMBAUD


... Furmeyer arrive le 4 juillet à Sisteron. Sommerive envoie ses nombreuses troupes à l'assaut, par 3 fois sans succès. Beaujeu, Furmeyer, Dubar, Malejay, Seguiran & les autres chefs firent des merveilles, les femmes mêmes, les enfants et tous ceux qui étaient hors d'état de porter les armes, firent plus qu'on ne pouvait en attendre. Le général de Beaujeu dit à Furmeyer, en parlant de son cousin Lesdiguières : ‘’Votre enseigne a triomphé aujourd’hui, vous devez bien l’aimer, car il vos a fait beaucoup d’honneur.’’ 

Quand les munitions commencent à faire défaut à Sisteron, Furmeyer fait une sortie par un affreux précipice et rejoint un petit corps d'armée amené par Montbrun, qui vient de Grenoble au secours de Sisteron. A la bataille de Lagrand (août 1562), entre Orpierre et Eyguians, malgré des charges désespérées, Montbrun et Furmeyer sont battus. Furmeyer bat en retraite. Il va à Corps, à côté du Valgaudemar, en passant par Gap, fin août 1562. Montbrun se réfugie alors à Orpierre, d’où il est chassé le 2 septembre par La Beaume et Suze. Après la prise de la citadelle de Sisteron, Sommerive fait massacrer les prisonniers, puis c’est le tour des présumés protestants de la région. En n’étant pas venu défendre la ville, certainement par jalousie de l’intrépidité et de la valeur de Mouvans, des Adrets est à l’origine de cette défaite.


Antoine est rejoint par des protestants fuyant les persécutions. **Le notaire Esprit Arnaudon de Serres* doit abandonner son enfant qui vient de naître et sa femme, le 15 août 1562. Nous avons retrouvé son journal : 

‘’’Et estant née ledict enfant dudict jour, n’ausant demeurer audict Serres à cause des desditz papistes, m’en suys en allé avec ledict camp audict Cisteron, soubz la charge du capitaine Furmeyer et ay layssé en farine notre femme et avec notre dict petit enfant''

 Furmeyer, accompagné de ses enfans perdus et des soldats de Montbrun, bat en retraite en direction du Champsaur. Fin août, ils passent par Gap, comme nous le précise le notaire Arnaudon :'' Et ayant demeuré ledict camp des fidelles à l’Escale sous Volonne, campés, ayant repoussé les papaux jusques à Les Myes les Sisteron quatre lieux circa, ledict environ troys semeynes c’est retiré aux garnisons des fidelles et j’ey suyvi ledict capitaine Furmeyer à la cité de Gap où estoit sa garnison où j’ai demeuré le ? Passé du moys, longé chef Domegne Du Puy papiste avec Henry Chitron de Veyne et Mongery dudict Veyne, uguenaux. ‘’

 

*notre ancêtre direct (~1534 – >1608 Serres)

# Gendre de Gabriel ARMAND – notaire de Serres (~1474- >1544)

Fils de Martin ARNAUDON (~1504 Serres – dcd 21/5/1544 à Nyons).

Martin est co-fondateur de la très nombreuse lignée des ARNAUDON de Serres et de Veynes, jusqu’en 1851

C’est de cette lignée que descend Alexandre CORREARD (Radeau de la Méduse) et indirectement MarieJo, Roger et Pétou…..oh, Bou diou !

 

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 17:42

  Pierre Alexis PONSON du TERRAIL Créateur et auteur de ''ROCAMBOLE''

Pierre Alexis PONSON du TERRAIL 

 (1829-1871)

(Ancêtre indirect (§ Tableau annexe) de Roger REYNAUD -Auteur de ce blog)


Il est des personnes dont on dit qu'elles sont nées sous une bonne étoile, qu'elles sont nées bien coiffées, ou encore avec une cuillère en argent dans la bouche. Quand un enfant arrive dans un milieu favorisé, il a toutes les chances d'avoir une enfance protégée et agréable. Et, si en plus, les fées se sont penchées sur son berceau en lui donnant une imagination débordante et une capacité de travail extraordinaire, cela en fait un personnage surdoué.C'est de cet ancêtre, dont je suis admiratif, que je veux parler et le décrire à ma façon, et il se nomme : Ponson du Terrail ''Le Romancier à la plume infatigable'' et ses amis parlant le lui, disaient  ''Ponson du Travail !''             Roger Reynaud 

 

 

 

 L'auteur-créateur-inventeur du personnage  "ROCAMBOLE" est l'un des principaux feuilletonnistes du Second Empire, auteur d'une oeuvre importante composée principalement de romans de cape et d'épée et de romans criminels, mais aussi de romans ''balzaciens''.


      En 1870, un an avant son décès                     en 1868

Ponson en 1870

  Ponson en 1868

 

Pierre Alexis Joseph Ferdinand de Ponson du Terrail, vicomte de Ponson du Terrail, né le 8 juillet 1829 à Montmaur   (Hts-Alpes) dans la propriété de campagne de son grand père maternel Pierre Toscan du Terrail le 8 juillet 1829, de Noble Ferdinand Marie de Ponson et de Marie Suzanne Bénédicte Toscan du Terrail.


Ses parents étaient alors domiciliés à Ponson son village de SimianeSimiane-la-Rotonde (04), à quelques kilomètres de Banon, d'où les de Ponson étaient originaires. Son arrière-grand-père, côté maternel, Jacques Toscan du Plantier, notaire à Montmaur, est par ailleurs l'ancêtre de Daniel Toscan du Plantier.(acteur, producteur de cinéma). Son grand-père paternel Lange Toscan du Terrail était Garde du Corps de Louis XVI. Il a été anobli par ce dernier.


Pierre est mort le vendredi 20 janvier 1871 à 18h, à Bordeaux, de la variole noire (une sorte de peste). Il s'est retrouvé à Bordeaux pour fuir les armées prussiennes , Il est enterré au cimetière de Montmartre  à Paris. Il a été un écrivain populaire français et l’un des maîtres du roman-feuilleton.


PONSON retour de RocamboleIl est célèbre pour son personnage ''Rocambole''. Il a écrit 200 romans et feuilletons en vingt ans.  

Pierre commence à écrire vers 1846, à 17 ans. Ses premiers écrits s’inscrivent dans la tradition du roman gothique. Par exemple, son roman la Baronne Trépassée  (1852) est une histoire de vengeance située autour de 1700 dans la Forêt Noire. Il s’agit, au même titre que la Ville Vampire de Paul Féval, d’une parodie des histoires de vampires. Il a été le nègre d'Alexandre DUMAS (père) quelques années, avec Théophile Gautier, Anicet Bourgeois, Paul Bocage, Auguste Maquet et Gérard de Nerval (dans le milieu littéraire, on les nommait "l'Usine à Dumas").


Puis, pendant plus de vingt ans, il fournira en feuilletons toute la presse parisienne (l’Opinion nationale, La Patrie, Le Moniteur, Le Petit Journal etc…)

Son œuvre aux intrigues échevelées fruit d’une imagination débordante contient aussi de nombreux calembours, par exemple ‘’en voyant le lit vide, son visage le devint aussi’’. Ecrivant très vite, et sans se relire, il parsème ses romans de phrases fantaisistes telles que ‘’Ses mains étaient aussi froides que celles d’un serpent….) ou ‘’D’une main, il leva son poignard, et de l’autre il lui dit…….)  C’est en 1857, qu’il entame la rédaction du premier roman du cycle de Rocambole (cycle parfois connu sous le titre Les Drames de Paris. Puis, L’Héritage Mystérieux, qui parait dans le journal La Patrie. Il vise principalement à mettre à profit le succès des Mystères de Paris d’Eugène Sue. Auteur de nombreux romans, des "Aventures de Rocambole"...Les Exploits de Rocambole (1859-1884). Suivi de La Revanche de Baccarat, Le Manuscrit du Domino et La Dernière Incarnation de Rocambole.Son ‘Rocambole’ devient un grand succès populaire, procurant à Ponson une source de revenus importante et durable. Au total, il rédigea neuf romans mettant en vedette Rocambole.


Reconnaissance internationale, voir affiche en Italie

Ponson une renommée internationale

En août 1870, alors que le romancier vient d’entamer la rédaction d’un autre épisode de la saga de Rocambole, Napoléon III capitule devant les Allemands. Fidèle à l’image du chevalier Bayard, il quitte Paris pour Orléans, où il forme une milice de francs-tireurs en vue de faire la guérilla contre les Prussiens. Mais il est vite obligé de s’enfuir à Bordeaux, les Allemands ayant incendié son château. Laissant inachevé la saga de Rocambole, il meurt à Bordeaux en 1871, inhumé le 23 janvier devant un foule nombreuse  et M. Dalloz prononce une éloge funèbre très émouvante. Connaissant son amour pour Paris, sa veuve achète le 1er déc.1873, une tombe au cimetière Montmartre. Mais ce n'est qu'en 1878, le 28 février, qu'elle obtient un jugement autorisant le transfert de la dépouille mortelle du romancier de Bordeaux à Paris. Sa tombe est d'une étonnante simplicité : une dalle de pierre unie et gravée de l'inscription ''Alexis de Ponson du Terrail, 1829-1871"


Les Critiques :

'Rocambole' remportant un immense succès, Ponson subit des critiques acerbes des 'petits journaux' à qui il ne veut pas vendre ses récits, et qui voient le tirage de leurs concurrents plus heureux monter en flèche lorsqu'ils publient une oeuvre du romancier en vogue. Des 'critiques littéraires' offensés par la chance du romancier, y compris 'les Goncourt'. Et des écrivains jalousant tout à la fois le succès et l'immense revenu lié à celui-ci.


Les éloges :

Légion d'honneur, Secrétaire de 1859 à 1865, puis Vice-Président de la Société des Gens de Lettres en 1866 et 1867 .Cette société comptait, dès cette époque, les plus grands écrivains parmi ses membres.

Classé parmi ''Les Ecrivains du Siècle", à la place d'honneur, en 1869 par la fameuse librairie DENTU : ''Ponson a laissé à la postérité une sorte de roman-feuilleton, un époustouflant roman d'amour paysan et d'aventures guerrières, qui constitue le chef d'oeuvre d'un genre''

Prosper Mérimée : ''Personne ne manie comme Ponson du Terrail le crime et l'assassinat. J'en fais mes délices. Il est à présent notre seul écrivain de génie"

Emile ZOLA écrit à Paul Cézanne, en 1866 : ''Ponson a plus de lecteurs que nous tous réunis ! Il a beaucoup de verve, beaucoup de science, beaucoup de souffle : on ne peut dédaigner l'écrivain qui tient dans sa main les émotions de deux ou trois cent mille lecteurs !" Et Zola, lorsqu'en 1868, présente son nouveau roman, les ''Mystères de Marseille'', il ajoute ce commentaire :''Certes, je n'ai pas la pensée ambitieuse d'avoir égalé Ponson du Terrail". En 1878 (Ponson est mort depuis 7ans), il en remet une couche en déclarant :''Aujourd'hui, nous n'avons pas un seul romancier qui puisse lui être comparé"


Bibliographie :

les Exploits de Rocambole ou les Drames de Paris (1859-1884)

L'Héritage mystérieux

Le club des Valets de Coeur

La Revanche de Baccarat

Les Chevaliers de Clair de Lune, composé de : Le Manuscrit du Domino et la Dernière Incarnation de Rocambole, Le Testament de Grain de Sel et le Château de Belle-Ombre

La Résurrection de Rocambole, composé de :Le Bagne de Toulon, Les Orphelines, Madeleine, Rédemption et la Vengeance de Wasilika

Le Dernier mot de Rocambole, composé de :Les Ravageurs, Les Millions de la Bohème, le Club des Crevés, La Belle Jardinière et le Retour de rocambole & La Vérité sur Rocambole est souvent affilié à cette série.


Ponson titre le voleur en 1859

Les Misères de Londres, composé de : La Nourrisseuse d'Enfants, L' Enfant Perdu et le Moulin sans Eau, les Tribulations de Shoking et ainsi de Newgate, le Cimetière des Suppliciés, Un Drame dans le Southwark, L'Enfer de mistress Burtin, Les Amours du Limousin, La Captivité du Maître, Le Fou de Bedham, L'Homme en Gris, La Démolition de Paris, La Corde du Pendu, La Baronne Trépassée (1852), Les Coulisses du Monde (1853), Le Forgeron de La Cour-Dieu (1869)


 

 

D'où vient le mot "rocambole'' ?

Soit, d'après Ponson, "je ne l'ai pas inventé", dit-il, " je l'ai tout simplement emprunté à un dictionnaire d'horticulture, c'est le nom d'une plante : rocambole ''l'AIL d'ESPAGNE,

(AIL ROCAMBOLE ou ALLIUM SATIVUM SCORODOPRASUM),  dont la graine excite l'appétit'', dont le nom 'sonnait' bien et qui lui a plu.  

Ou une autre version, Eugène Labiche, écrivain et ami de Ponson, avait créé une pièce nommée "Rocambole bateleur"" en 1846 (mais Ponson avait déjà 17 ans, et avait commencé à écrire très jeune) aux Folies Dramatiques, et dans 'la fille bien gardée" , jouée en 1850, le personnage central est Rocambole, un carabinier au comportement inattendu.

 

Définition du mot ''rocambolesque :

Dictionnaire :  "Adjectif employé pour qualifier des actions audacieuses ou extraordinaires : fuite, évasion rocambolesque, réalisées avec une habilité et une astuce particulière. Dérive de Rocambole, nom du héros téméraire de nombreux romans de l'écrivain français, P.A.Ponson du Terrail"

Il existe en français seulement quatre adjectifs dérivés de personnages imaginaires : "gargantuesque, pantagruélique, ubuesque et rocambolesque", et ce dernier est de loin le plus employé.


Notes, Sources et Références :

www.gutenberg.org/Ponson du Terrail

www.ebooksgratuits.com

fr.wikipédia.org & www.udenap.org/groupe de Ponson du Terrail
Archives Départementales en lignes 05 - registres de Montmaur 1829 réf 2 E 92/3 page     28/94

Tables décennales par Relevés de l'Association de Généalogie des Hautes Alpes sur Montmaur

Gallica-BNP.org (recherche en ligne de tout document écrit et diffusé) 

Ponson couverture du livrePinson dos du livre

 

par E.M Gaillard :Biographie d'Alexis Ponson du Terrail, éditions A. Barthélémy, 2001


 

(ancêtre indirect (§ Tableau annexe) de Roger REYNAUD -Auteur de ce blog)


 

Lien généalogique entre Roger REYNAUD (ou frère, sœur ou cousins (es))

Et Pierre Alexis PONSON du TERRAIL 

 (Créateur du personnage légendaire ‘ROCAMBOLE’)

 

Suivre les noms en ‘jaune’ indiquant la lignée.

1)     Roger REYNAUD(18/04/1949) résidant à Pierrevert (04860) 

2)     Fils d’Andrée Albertine MARTIN (1925 Aspremont) et de Paul REYNAUD (1921-1977 Sisteron)

3)     Fille d’Emile Marius MARTIN (1874-1936 Aspremont) et de Clotilde GERMAIN(1887-1983 Mison les Armands)

4)     Fille de Louis GERMAIN (1844 Mison) et de Marie Victorine ARNAUD (1853-1940 Aspremont)

5)     Fille de Marie Emilie RICHAUD (1825-1886 Aspremont)et de Baptiste ARNAUD   (1817-1873

Aspremont)

6)     Fille de Mathieu RICHAUD (1787-1851 Aspremont) et de Marguerite OLLIVIER (1798-1865 Aspremont) 

 

7)      Fille d’Etienne OLLIVIER (1764-1832 Aspremont)et de Marguerite REYNAUD  (1761-1820 Aspremont) 

8)      Fille de Jean-Etienne REYNAUD (1741-1805 Aspremont) de Thérèse GARAGNON (1742-1801 Aspremont)   

9)     Fils d’Estienne REYNAUD (1698-1767 Sigottier 05) et de Cécile MANENT (1719-1760 Aspremont)

10)     Fils de PonsREYNAUD(1639-1715 Sigottier) etde Jeanne ALMERAS (1652-1727 Sigottier) 

11)  Ont un autre fils, François  REYNAUD (1675-1759 Sigottier) qui épouse Marie MAUREL (1700-1751 La Beaume des Arnauds) 

12)  Fille de Gaspard MAUREL (1672-1722 La Beaume)et d’Anne BROCHIER (1675-1722 La Beaume)

13)  Fille de Georges BROCHIER (1655 La Beaume) et d’Isabeau JACOB (1646-1702 Mereuil 05)

14)  Leur fille, Françoise BROCHIER (1683-1752 La Beaume) épouse Louis FIE (1772-1833 Aspremont)

15)  Leur fils, Gaspard FIE (1713-1763 St Julien en Beauchêne) épouse Marguerite ROUY (o1726 Ventavon)

16)  Fille de Jean-Baptiste ROUY (o1699 Ventavon),  

17)  Fils de Jean-Antoine ROUY  (o1646 Ventavon)  

18)  dont ses parents sont Jean Jaume ROUY (1602-1672 Chanousse 05)et Jeanne VILLARD (1607-1673 Chanousse) 

19)  Dont la fille Marguerite ROUY  (1641-1701 Venterol 05)épouse Jean TOSCAN d’ALLEMONT (Greffier Seigneurial de VENTAVON- 1628-1688 Ventavon)  

20)  Dont le fils, Jacques TOSCAN d’ALLEMONT (Greffier des Seigneuries de VENTAVON, MONESTIER ALLEMONT ET LAZER -  1669-1758 Ventavon) épouse Madeleine PAUL (1674-1739 Sigoyer 05) dont 12 enfants.                                                                                                                                                                

21)  Dont  le fils, Jacques TOSCAN d’ALLEMONT (Notaire Royal et Capitaine Châtelain de la Baronnie à Montmaur 05 - 1711-1784) épouse Marie-Anne  AUGIER du BOISSET (1718-1787)                                                                                

22)  Dont le fils, Pierre TOSCAN du TERRAIL (Lieutenant Colonel de Gendarmerie -1760-1840 Montmaur)épouse Anne Elisabeth Euphrosine LAPLANE (1771 Ribiers 05-1864 Montmaur)  > C’est à partir de cette branche qu’un lien de parenté se crée entre Roger et Aimé Edouard de LAPLANE (1774 Ribiers - le Virailh – 1870 Sisteron), écrivain, Historien de Sisteron, anobli par Louis XVIII le 7 sept.1816. Aimé Edouard  étant le frère d’Elisabeth. 

 

23)  Pierre et Elisabeth ont une fille Bénédicte Marie Suzanne TOSCAN du TERRAIL (1798-1877 Ribiers)qui épouse Ferdinand Marie de PONSON (1782 Simiane-la-Rotonde 04) dont le père de Ferdinand, Lange PONSON (1745-1823 Simiane-la Rotonde), était Capitaine des Gardes du Corps de Louis XVI  > anobli par Louis XVIII le 19 avril 1817 

24)  Bénédicte TOSCAN  du TERRAIL et Ferdinand PONSON vont engendrer 3 enfants, dont, notre héros :

25)  Pierre Alexis PONSON du TERRAIL (8 juillet 1829 à Montmaur – 10 janvier 1871 à Bordeaux) 

*Son arrière grand-père, côté maternel, Jacques TOSCAN du PLANTIER, notaire à Montmaur 05, est l’ancêtre de la Branche TOSCAN du PLANTIER, dont découle Daniel TOSCAN du PLANTIER (1941-2003), Cinéaste-Producteur 

 

 


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26 mars 2011 6 26 /03 /mars /2011 20:52

Abraham PATRAS

(°22 mai 1671 à Grenoble (38)

(+3 mai 1737 à Batavia – Jakarta, INDONESIE)

(Armes : ‘’D’azur à l’aigle éployé d’argent, au chef cousu de gueules chargées de trois étoiles à six rais’’)


ABRAHAM PATRAS

 

A été gouverneur général de l'Indes orientales néerlandaises à partir du 11 Mars 1735 jusqu'au 3 mai 1737. Il est né à Grenoble fils d'un réfugié huguenot français – Antoine PATRAS*, notaire de Veynes, puis notaire royal de Grenoble, né à Veynes (05) le 11 juillet 1612. En 1685, sa famille a fui vers les Pays-Bas

 

Début de carrière

Abraham PATRAS, d’abord pris un emploi dans les bureaux d'un marchand d’ Amsterdam nommé Nathaniel Gauthier (un garçon huguenots), mais qu’il a quitté pour les Indes à bord du Hobree le 4 Janvier 1690, où il est décrit comme un soldat au service de l' Enkhuizen branche de l' East India Company néerlandais .

En 1691, il a demandé un changement de carrière et a obtenu un poste temporaire à titre d'agent de Batavia En 1695, il devient l'assistant-secrétaire à la succession de gestion de l'administration chinoise de l'île d'Ambon .

En 1698, il est chargé de la gestion des enfants et en Matière matrimoniale.

Il s'est marié en 1699 à Gehesia KNIPPING, fille d'un fonctionnaire du Conseil de la magistrature à Ambon, archipel des Moluques, Indonésie.

Sa femme est décédée le 16 Décembre 1700. Sa fille unique est morte à l’âge de 1 an.

 

Il Gravit les échelons

Patras a été nommé au Conseil de la Justice en 1700 et en 1703, il est allé travailler en tant que sous-secrétaire (onderkoopman) pour le gouverneur de la Moluques .

En 1707, il devient le chef (opperhoofd) du poste de traite à Jambi , où son siège a été attaqué.

Bien que grièvement blessé dans le dos, il a survécu. Il a été marchand, puis agent principal de Palembang en 1711. En 1717, il a été promu chef de la marine marchande (opperkoopman) et titulaire (gezaghebber) de la côte ouest de Sumatra .

En 1720 il promu inspecteur général des comptes pour les Indes Néerlandaises (visitateur-generaal van Nederlands-indie). En 1721, il fut envoyé comme émissaire à Jambi .

En 1722, il a été nommé député intendant des marchandises qui entrent et sortent du château de Batavia .

En 1724, il a obtenu le poste très lucratif de chef de la Bengale poste de traite.

En 1731, il a été nommé extraordinaire membre du Conseil des Indes.

 

Gouverneur général

Au 10 Mars 1735 après la mort de gouverneur-général Dirck van Cloon , Patras a été nommé gouverneur général . (Le Gouverneur Général des Indes Néerlandaises était le représentant du pouvoir néerlandais dans les Indes néerlandaises de 1610, à la reconnaissance de l’indépendance de l’Indonésie** par les Pays-Bas en 1949)

** lors de l’occupation britannique (1811-1816), le territoire fut dirigé par un ‘lieutenant-gouverneur’ dont le plus connu est Thomas Stamford RAFFLES, le fondateur de Singapour

ABRAHAM PATRAS portrait couleur

 

Il n'avait jamais été membre à part entière du Conseil des Indes, c'était donc une première, et cette nomination a pu être causée, suite à une impasse dans le vote, et a été accepté comme un candidat de compromis. Il ne tenait pas à assumer le poste dans ces circonstances, mais il a accepté de le faire jusqu'à ce qu'un meilleur candidat n’ait pu être trouvé.

Le 11 Mars 1735, il a été nommé gouverneur général provisoire, une décision qui a été approuvé par les directeurs de l'East India Company.

Bien qu'il ait été un leader compétent et avait accumulé une grande connaissance pratique des territoires, son âge (à 64) sans doute a fait qu'il n'était pas un très puissant gouverneur-général.

Il mourut deux ans après sa nomination dans la nuit du 3 mai 1737. Il fut enterré dans Batavia , le 6 mai 1737.

Il était un homme pieux et généreux qui a vécu une vie très modeste.

La gouvernance générale a été reprise par Adriaan Valckenier .

 

*Fils de Jean PATRAS, notaire delphinal de Veynes  - Notaire Protestant –  

§ Minutes de 1591 à 1597 – Testament du  10/03/1651. Mariage en 161O avec Madeleine de BRUNEL, fille de NOBLE VINCENT BRUNEL, devant  le pasteur de VALDROME (05) en présence de JOSEPH de REYNIER, de Serres, de Pierre de FLOTTE, de ST Pierre d’Argençon et de Claude d’ AGOULT de la BEAUME.

 

*sous le régime de Charles IX  de France, les guerres de religion ont leur écho à Veynes : le culte protestant a été autorisé dans la Cité le 22 fév.1572, quelques mois avant le massacre de la St Barthélémy, dans le château de la Villette. Bourgeoisie et noblesse rejoignent le camp réformé et de nombreuses escarmouches militaires se déroulèrent dans le bourg. La Révocation de l’Edit de Nantes (1685) entraîne l’émigration et l’exil d’une partie importante des Huguenots, qui se fixent à Genève, en Suisse, en Brandebourg, à Berlin et en Hollande, y apportant leur savoir-faire et vidant VEYNES d’une population active. Abraham PATRAS, devient Gouverneur des Indes Néerlandaises, André de REVILLASC, Général en Brandebourg, Jacques de MAFFE, maître horloger à Genève et Salomon JORDAN, pasteur à BÜTZOW, authentique colonie veynoise. Jacques GALLAND, un apothicaire, participe à la fondation de Bad Karlshafen sur la Weser, une autre colonie veynoise.

 

Tous ces renseignements sont tirés du livre ‘’Abraham Patras, gouverneur général des Indes Néerlandaises et sa famille. Notes biographiques et généalogiques’’, publié par Edmond Maignien, conservateur de la Bibliothèque de Grenoble, correspondant du Ministère de l'Instruction publique, officier d'Académie. Grenoble, 1892, J. Baratier, brochure in-8#, 47 pp. L'auteur a recueilli tout ce qu'il importe de savoir sur son héros dauphinois et sur sa famille, et il l'expose avec clarté et méthode, dans un style élégant et concis.

 

Origines des ‘’PATRAS’’

Le premier Patras connu dans mes recherches est Reynaud PATRAS de PATRASSIO, né vers 1390 (calendrier julien) à Saint-Etienne en Dévoluy. Sa famille venait-elle d’Italie ?

Affranchi ou anobli le 13 déc.1408 par Aynard et Reynaud MONTAUBAN (père et fils, seigneurs du Dévoluy)

Cet anoblissement semble avoir eu lieu à la vente d’une part de la Seigneurie d’Asnières en Dévoluy.

Armes et blason des Patras : armes de la famille de gueules à une sirène d’argent posée de front, la queue fourchée et soutenue par deux masse de chaque mouvante à chaque flanc. (Source, Livre Histoire de Veynes + Veynes et ses environs + protestants de C.Roux et l’Abbé F.Allemand)

blason PATRAS

Reynaud Patras a un fils :

Pierre, (vs.1415), notaire à St Etienne en Dévoluy, puis à Veynes. Témoin en 1475 du règlement des limites entre Veynes, Aspres et Oze. Recensé comme notaire au cours de la révision des feux de 1446. Dans la chartre 202 du 14/08/1435 de Notre de Bertaud, on mentionne «et me Petro de Patrassio, de Delevodio, notario publico auctoritate imperiali constituto……. » Recensé comme seul noble à St Etienne en Dévoluy, ainsi qu’à St Disdier au cours de la révision des feux de 1458. Pierre va avoir deux enfants :

Madeleine, vs.1460, mariée le 15/09/1479 avec Julien RAMBAUD vs.1454 

Gaspard, (vs.1472-1529), Seigneur d’Asnières en Dévoluy, cité ‘’habitant de Veynes en 1502’’.Teste le 23 nov.1529 à Grenoble, chez Me BONIS. Marié vs.1497 avec Louise Gaillard (vs.1477-1555) dont

Guichard, Vs.1502, marié en 1527 avec Bernardine de GRUEL FONTAGER (vs.1507) de Serres, fille du noble Antoine de GRUEL, branche qui devint calviniste alors que les GRUEL de Saix, de Laborel restent catholiques, dont :

Pierre Ecuyer (1532-1606) marié le 21/01/1557, à Veynes avec Marguerite d’ESPINASSY de FONTANELLE dont :

1) Pierre, (1557-1614), marié vs.1587 à Veynes avec Bernadette RUELLE (1562-1617) dont Isabeau (1587-1632)

2) Jean, (1567-1620), notaire protestant (minutes de 1591 à 1597) teste le 10/03/1620

Marié vs.1587 avec Isabeau GIRAUD (1572-01/1590) dont Daniel (1590-1651) et Pierre (1590-1642)

Marié le 15 janv.1590 avec Marguerite FAURE (1570-1610)

Marié le 5 déc.1615 avec Madeleine ARMAND (1570) dont Suzanne (1616) et Olympe (1619)

Marié le 21 nov.1610 à Lesches-en-Diois (26) avec Madeleine de BRUNEL (1590-1614) fille du noble Vincent de BRUNEL devant le pasteur de Valdrôme (26) en présence de Reynier de Serres, de Pierre de Flotte de St Pierre d’Argençon et de Claude d’Agoult de la Beaume, dont :

Antoine (11/7/1612-2/01/1696), baptisé au Temple de Veynes le 11/7/1612 –notaire à Veynes, puis ç Grenoble où il teste en 1695, ‘’enterré de nuit et sans bruit, dans sa vigne de St Martin-le-Vinoux (38), sans avoir abjuré’’ marié en 1667 avec Olympe BLUSSET dont :

ABRAHAM, notre héros ! 

 CHEMIN ROGER REYNAUD vers ABRAHAM PATRAS

lien de parenté

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22 mars 2011 2 22 /03 /mars /2011 13:18

Encore Un ancêtre célèbre

 

A quand le prochain centenaire chez les Assomptionnistes ?  **  

 

 

**Les Augustins de l'Assomption (AA) constituent une congrégation de catholiques religieux (prêtres et frères), fondée en Nîmes , sud de la France, par le Père. Emmanuel d'Alzon en 1845, initialement approuvé par Rome en 1857 et définitivement approuvé en 1864 (les Constitutions ont été approuvées en 1923). Le courant de la règle de la vie de la congrégation tire son inspiration de celui de Saint- Augustin d'Hippone .

Cette congrégation internationale est présente dans près de 30 pays à travers le monde, avec les dernières bases les plus mis en place en 2006 aux Philippines, au Vietnam, et le Togo. La congrégation a été longtemps impliqué dans l'éducation, la presse, l'œcuménisme, les pèlerinages et les missions. Dans les années 1870, religieux lancé plusieurs magazines qui ont, au fil des ans, développé dans l'une des plus grandes maisons d'édition catholiques dans le monde, Bayard Presse , qui publie le primé quotidien français, La Croix , et plus de 100 magazines en 15 langues (en anglais sa publication la plus connue est Catholic Digest ). En 1873, ces religieux ont également commencé une série d'échelle grands pèlerinages à la fois en France et à la Terre Sainte qui s'est développée dans ces efforts actuels comme le pèlerinage national à Lourdes chaque année à l'occasion de la fête de l'Assomption, réunissant des milliers de pèlerins .

En plus de l'Assomption, un certain nombre d'autres congrégations appartiennent à la famille plus large prise en charge: La religieuse (Sœurs) de l'Assomption, les Oblats (Sœurs Missionnaires) de l'Assomption, les Petites Sœurs de l'Assomption, les Orantes de l'Assomption, les Sœurs de Saint Joan of Arc, les Frères de l'Assomption, les Petites Sœurs de la Présentation de Notre-Dame, les Sœurs Missionnaires de l'Assomption, et les Sœurs de la Croix

 

Vous avez sans doute appris le décès à 102 ans du Père Géminien SERRES (Jean Ludovic Elie) né le 17 janvier 1907 à Agnières en Dévoluy et décédé le 5 octobre 2009 à Albertville (Savoie) à l’âge de 102 ans, assomptionniste, à Albertville, le lundi 5 octobre 2009.  

Il a été le premier centenaire de la Congrégation des Augustins de l’Assomption. Originaire des Alpes en France, il a consacré la plus grande partie de sa vie apostolique à l’enseignement.

 


Chemin du lien de parenté avec Père Géminien SERRES

 

Chemin-de-Parente-Pere-Geminien-SERRES-et-Roger-REYNAUD.jpg

 

SERRES Jean Ludovic au Bac 1926 Grenoble  SERRES Jean Ludovic  SERRES Jean Ludovic service militaire  Père Géminien SERRES , à la fin de sa vie


    
Si vous reprenez la liste des 20 doyens de la Congrégation, liste établie par le Père Xavier Vandermeerschen en mai 2009 (voir AAINFO n° 16 page 6), il faudra attendre l’année 2012, en avril, pour « avoir » un futur centenaire en la personne du Père  Charles Lançaro à qui nous souhaitons, à Layrac (France),  bonne santé et longue vie !

Nos Sœurs Oblates de l’Assomption, religieuses missionnaires, quant à elles, ont eu et ont encore plusieurs Sœurs centenaires ! Les femmes sont plus résistantes que les hommes, c’est bien connu !

D’ici 2012 nous aurons fêté le Bicentenaire de la naissance du Père Emmanuel d’Alzon, en août 2010 ! Nous allons de naissance en renaissance.
« Nous trouverons notre joie à ne compter que sur Dieu »
écrivait le Père d’Alzon en 1878 dans une de ses méditations. 
(Ecrits Spirituels, page 504.)

...
www.assumptio.org/aa/fr/.../a-quand-le-prochain-centenaire

 

 

 

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3 mars 2011 4 03 /03 /mars /2011 00:57

Famille de REVILLASC de LACHAU

 

Blason : "D’argent au lion de gueules"

Note du Blogeur :

Biographie rédigée par le logiciel "FILIATUS PRO" développé par M. Michel DEMOREST (http://www.filiatus.com/)

    Publié par Jean Pierre LOMBARD.

Je me suis permis de recopier cette magnifique descendance, car étant originaire de la vallée du Haut-Buëch (Aspremont, Aspres, Sigottier, Montmorin etc....) et du Champsaur (Champoléon, St Jean St Nicolas, le Glaizil etc....) et du Dévoluy, j'ai trouvé - comme beaucoup d'individus de ces contrées - que la Famille de REVILLASC faisaint partie de mon arbre généalogique (Roger Reynaud)

 

 

  Jean-François MARTEL écrit : '' La famille de Judith de REVILLASC de LACHAU est originaire de Piémont (REVIGLIASCO) où naquit, en l'an 1226, Teucy Etnisy de REVILLASC (Sosa 8192), le plus lointain ancêtre de Judith. Son ascendance s'étend sur treize générations dans laquelle on dénombre 34 personnages répartis en 22 hommes et 13 femmes. Aucun enfant n'est né avant le mariage et pas un n'a été conçu avant les noces de ses parents. Les mois les plus propices aux naissances étaient mai et août. Les baptêmes étaient administrés le plus souvent en mai et en août, et les décès les plus nombreux survenaient en mai, en juillet et en janvier. Les unions ne présentent aucune endogamie professionnelle. On ne compte aucune union entre cousins.'' 

''M'étant trouvé l'été dernier en pleines recherches généalogiques à BELLEGARDE en DIOIS,je suis tombé par hasard sur l'acte de décès de Judith de REVILLASC LACHAU.

Rentré chez moi, je me suis aperçu que par David BUIS son époux ils se trouvent être les ancêtres 8èmes de mon grand-père paternel.

Son ascendance a été établie à partir de "l'Armorial Haut-Alpin" de M. GROSDIDIER de MATONS.''

de Jean-François MARTEL http://jfmartel.free.fr +.

 

Génération I

Sosa N°1 - Judith de REVILLASC de LACHAU, fille de Jean (1625->1695), maréchal des logis au régiment d'Anery, Fermier général du prieuré de Romette, et de Marie BLAIN (1630->1698), née à Aspres-sur-Buëch, Aspres-sur-Buëch le 8 août 1665, elle a été reçue au baptême , Aspres-sur-Buëch le même jour, décédée à Bellegarde en Diois, Chapelle de Montlahuc (dans laquelle il n'existe aucune trace de sa sépulture)le 1er janvier 1737, à l'âge de soixante-douze ans. À vingt-huit ans, elle s'est mariée en 1693 avec David BUIS, né vers 1643, Bellegarde-en-Diois, décédé le 5 avril 1728 à Bellegarde en Diois.

Génération II

2/3 - Jean de REVILLASC de LACHAU, maréchal des logis au régiment d'Anery, Fermier général du prieuré de Romette, fils de François (1583-<1663),>, et de Diane de PONNAT, né en 1625, cité en 04 1695. À environ trente ans, il s'est marié vers le 5 juin 1655, à Aspres-sur-Buëch avec Marie BLAIN, née en 1630, Aspres-sur-Buëch, décédée après juillet 1698.

Génération III

4/5 - François de REVILLASC, écuyer, Mestre de camp d'infanterie, fils de Guy(1541->1613), écuyer, et de Laurence de RICOU (1556->1620), né en 1583 , mort dès 09 07 1663 . À trente ans, il s'est marié le 10 juillet 1613 à Grenoble avec Diane de PONNAT, née le 3 mai 1600, décédée à Grenoble.

6/7 - Pierre BLAIN, né en 1605À vingt-cinq ans, il s'est marié en 1630 avec Marie LOMBARD, née en 1610.

Génération IV

8/9 - Guy de REVILLASC, écuyer, fils de Jean (1506->1576), écuyer, et de Jeanne BERGER (1511->1560), né en 1541, cité en 12 1613. À trente-cinq ans, il s'est marié le 8 février 1576 avec Laurence de RICOU, née en 1556, décédée après novembre 1620.

10/11 - Jean Baptiste de PONNAT. Il s'est marié avec Louise de GARCIN CHATELARD.

Génération V

16/17 - Jean de REVILLASC, écuyer, fils de Claude (°1476), et de Jacquemine (Jacobine?) de PASSEVAL (1481->1531), né en 1506, cité en 02 1576. À vingt-cinq ans, il s'est marié le 29 mai 1531, à Die avec Jeanne BERGER, née en 1511, décédée après février 1560.

18/19 - Claude de RICOU, secrétaire du Roi, fils de Pierre (1491->1549), né en 1521 . À trente ans, il s'est marié en 1551 avec Madeleine de BRIANÇON, née en 1526.

 

Génération VI

32/33 - Claude de REVILLASC, fils de Jacques (1427-1485), et de Cheyrine Sirène de BALBIAN (1432->1511), venu au monde en 1476. À environ vingt-huit ans, il s'est marié vers le 25 janvier 1504 avec Jacquemine (Jacobine?) de PASSEVAL, née en 1481, décédée après le 29 mai 1531.

34/35 - Pierre BERGER, fils de Pierre (°1451), et de Jeanne CLOCHE (°1456), mis au monde, à Die en 1481, cité en 02 1544. À vingt-cinq ans, il s'est marié en 1506 avec Catherine de PIARRE, née en 1486, décédée après 1543.

36/37 - Pierre de RICOU, fils d'André (°1470), et de Mételine FUSIER (°1475), né en 1491, cité en 05 1549.

Génération VII

64/65 - Jacques de REVILLASC, fils de Gabriel (1406->1485), né à Aspres-sur-Buëch en 1427, y décédé en 1485, à l'âge de cinquante-huit ans. À trente-quatre ans, il s'est marié en 1461 avec Cheyrine Sirène de BALBIAN, née en 1432, à Quiers, décédée après le 21 février 1511.

68/69 - Pierre BERGER, fils de Pierre (°1421), avocat à Die, née en 1451. À vingt-cinq ans, il s'est marié en 1476 avec Jeanne CLOCHE, née en 1456.

72/73 - André de RICOU, fils de Claude (°1440), né en 1470. Il s'est marié avec Mételine FUSIER, née en 1475.

Génération VIII

128/129 - Gabriel de REVILLASC, fils de Peyron (Perron Pierre) (1376->1430), châtelain du Lauzet, et de Catherine de PROVANA (°1381), né à Aspres-sur-Buëch en 1406. Vivait encore en 1485.

136/137 - Pierre BERGER, avocat à Die, né en 1421.

144/145 - Claude de RICOU, née en 1440.

Génération IX

256/257 - Peyron (Perron Pierre) de REVILLASC, châtelain du Lauzet, fils d'Antonio ou Manfred (1346->1378), né, Revegliasco en 1376. Vivait encore en 1430. À vingt-cinq ans, il s'est marié en 1401 avec Catherine de PROVANA, née en 1381.

Génération X

512/513 - Antonio ou Manfred de REVILLASC, fils d'Avareto (1316->1350), né, Revegliasco en 1346.

Vivait encore le 30 01 1378].

Génération XI

1024/1025 - Avareto de REVILLASC, fils de Bonifacio (1280->1322), né à Revegliasco en 1316.

Vivait encore en 1350.

Génération XII

2048/2049 - Bonifacio de REVILLASC, fils de Giordano (1256->1280), né à Revegliasco en 1280.

Vivait encore en 1322.

Génération XIII

4096/4097 - Giordano de REVILLASC, fils de Teucy Etnisy (°1226), né à Revegliasco en 1256.

Vivait encore en 1280

Génération XIV

Sosa N°8192/8193 - Teucy Etnisy de REVILLASC, né à Revegliasco

 

 

Naissance: - Les REVILLASC forment une très ancienne famille supposée descendre des seigneurs de Revegliasco en Piémont. Les premiers degrés de la descendance sont incertains... Attention donc, à partir de Antonio/Manfred il faut prendre l'ascendance avec beaucoup de réserves. (Source 90 p. 574 + JFM-Histoire généalogique des familles de REVILLASC par Guy ALLARD).
- Cette personne et sa descendance sont données par Guy ALLARD dans son ouvrage de 1680, Histoire généalogique des familles de REVILASC etc. ; numérisé + Source 140.
- Cette personne et son ascendance/descendance ne sont pas données par d'HOZIER dans son Armorial Général, ou registre de la noblesse, de France ; numérisé + Source 140.
- Source 90-JFM.
- Le dictionnaire de la noblesse (de LA CHENAYE) complète les informations sur les REVILLASC en précisant que l'Empereur Frédéric II donna aux seigneurs de cette terre, en 1228, la seigneurie de Selles... Le 22/01/1378, toutes les branches convinrent de prendre la qualité de coseigneur de Revegliasco et toutes conservèrent leurs droits sur cette seigneurie.

Sources:
- naissance: Livre + fichier + divers - Armorial Haut Alpin + informations de Jean-François MARTEL http://jfmartel.free.fr +... - J. GROSDIDIER de MATONS +... - 90 - Original - Livre + divers - Armoriaux divers : FORAS, LA BATIE, VILLAIN, LA CHENAYE-DESBOIS, RIEUTORD - Bibliothèques - 140 - photocopie

 

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